• Les compromis sont provisoires.  


    Jérôme Garcin


    votre commentaire
  • Je suivais, la mort dans l’âme sâoul perdu dans Manhattan.
    Le manteau beige et les lunettes noires,
    La neige et le désespoir,

    Oh sa vie, comme elle était et nos larmes qui montaient
    Mais ce n’est pas tant Suzanne qui me plaît tant.
    C’est le mystère qui est dedans, le mystère dedans, le mystère dedans.

    Je suivais musiques et paroles mon chemin de rossignol chantant mon chant émouvant.
    On était plus jeunes avant la jolie fée qui m´a touchée.
    En l´embrassant, ma bouche à tremblée mais ce n´est pas tant ma vie qui me plaît tant, c’est le mystère qui est dedans, le mystère dedans.

    Mon amour comme ses yeux brillent quand elle jette pour moi ses espadrilles pourtant la voilà repartie retrouver l’autre abruti qui lui fout des marrons quand il est rond.
    Mais ce n’est pas tant cette fille qui me plaît tant.
    C’est le mystère qui est dedans. le mystère dedans.

    La vie nous dit et nous contredit tout ce déduit de ce qu’on a dit.
    Les discours de tous ces bandits. Les statues de jeux qu’on hisse, qu’on embrasse et puis qu’on dévisse.
    Les avions empiqués dans ce désir de kyste les chansons inhabitées,
    les guitares de mais ce n’est pas tant ce monde qui me plaît tant c’est le mystère qui est dedans, le mystère dedans.
    ce n’est pas tant ce monde qui me plaît tant c’est le mystère qui est dedans, le mystère dedans. le mystère dedans, le mystère dedans.

    Alain Souchon


    1 commentaire
  • L'amour est aveugle ?
    Quelle plaisanterie !
    Dans un domaine où tout est regard !
     
    Philippe Sollers


    votre commentaire
  • Les religions sont comme des routes différentes
    convergeant vers un même point.
    Qu'importe que nous empruntions des voies différentes,
    pourvu que nous arrivions au même but.  
     
    Gandhi


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires